Philippe Pitet

Pour cette édition 2020 de L’été photographique de Lectoure, Thérèse Pitte et moi-même avons été invité·e·s à présenter la première partie de notre travail commun qui interroge, sous la forme d’un journal photographique sensible, les représentation du monde intime qui nous entoure.
Depuis des années Thérèse Pitte est ma compagne dans la vie, et ce travail initié à travers quelques tentatives vidéographiques, de collaborations dans le cadre d’installations, de publications, ou encore de commissariats d’expositions, a réellement pris naissance lors du confinement dû à la catastrophe sanitaire liée à la crise COVID 19 en avril et mai 2020.
Une première version de ce travail photographique a été montré lors du Salon Reçoit du 22 mai 2020.
Cette version de « Ne va jamais à Navatar <> Bienvenue en Chamanie », présentée à Lectoure cet été est une nouvelle écriture qui augure une série à long terme.

« Bienvenue en Chamanie <> Ne va jamais à Navatar – S: Y – E: X »

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L’été photographique de Lectoure – édition 2020

Artistes et structures invités : association Déclic avec Gaël Bonnefon, Arno Brignon et Anne Desplantez • Collectif IPN avec Alexandre Atenza, Mélanie Bouychou, Raphaël Courteville, Audrey Douanne, Laura Freeth, Brenda Galliussi, Nicolas Jaoul, Maroussia Sallent, Matthieu Sanchez, Thomas Soulié, Émile Stoclin et Léo Sudre • Compagnie OBRA • Frédérique Félix-Faure • Yohann Gozard • Hipkiss • Myriem Karim (invitation à la Résidence 1+2) • Thérèse Pitte et Philippe Pitet • Fernanda Sánchez-Paredes (invitation à la résidence Traverse) • Annabel Werbrouck…

Comment continuer à penser, à organiser des projets artistiques dans nos lieux en temps de crise sanitaire ? Pour quels publics ? Dans ce contexte sociétal et au regard du marasme économique qui s’annonce, quelles places pour les arts visuels et les artistes ?

Le fantasme d’une planète sans frontière, régulée par l’automatisme des marchés, est fortement bousculé. La crise sanitaire fonctionne comme un grand révélateur, contribue à poser un regard critique sur nos modes de vie et nous donne l’occasion de repenser les écosystèmes entre global et local.

Repenser le partage et la circulation des œuvres en France et à l’étranger va devenir un enjeu majeur, clic[+] pour en savoir plus…

Visuel de L’été photographique de Lectoure 2020 – Crédit photo Arno Brignon

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