01.12.2025 – Chronique du lundi

1 décembre 2025 § Poster un commentaire

J’ai beau aimer la montagne, je ne suis pas sûr d’apprécier le social libéralisme !

Amies et amis du net comme des ondes, que vous rencontriez mes mots sur la Radio FMR [+] de Toulouse ou sur mon site web philippepitet.com, je vous souhaite bienvenue sur cette Chronique du lundi 1er décembre 2025. Ce premier lundi de décembre me rappelle que le temps s’écoule à l’incroyable et effrayante vitesse de 3600 secondes à l’heure, et que nous parcourons 7 jours en 168 heures ! Bon je vais arrêter là de vous faire ces « lapalissades » autant hasardeuses que redondantes. Mais j’avoue que cela m’a permis de poser un cadre rapide à l’édito de ce jour, en effet le temps qui passe sous mes yeux passe si vite qu’à peine un lundi bouclé, le lundi suivant vient s’inviter dans mes considérations approximatives sur les actualités de Sapiens, c’est à dire le cœur de mes rédactions hebdomadaires.

Vous le savez en me suivant semaine après semaine, ou plutôt en suivant mes élucubrations dans mes chroniques, j’ai une quasi obsession qui me pousse à combattre non seulement les médias de la réaction, mais aussi ceux que l’on peut qualifier d’accompagnement. Comme ceux du service public par exemple, d’ailleurs à ce sujet je vous conseille de lire l’excellent édito de Jules Blaster sous forme de lettre, intitulé : « Chère Alix Bouilhaguet – Boxing Day #58 » [+], daté du 29 novembre 2025, dans le plus qu’excellent média indépendant « Blast » [+] qui met en évidence le manque total de déontologie de la part d’une journaliste du service public, usant des mêmes technique crapuleuses qu’un éditorialiste officiant sur un média du groupe Bolloré. Évidemment, comme vous le constatez, je parle le plus souvent du paysage médiatique français, mais les méfaits de la gouvernance capitaliste du monde ne me font pas bien mieux considérer ces organes de propagande où qu’il se trouve sur notre planète.
À travers cette presse, que beaucoup appellent »mainstream », nous sommes bel et bien plongés dans une guerre culturelle qui nous assomme à grand coup de propagande partisane loin de la réalité des faits. Des faits que tout ces canaux de l’information tordent et arrangent à la sauce du capitalisme.
Partout dans le monde cette presse, quelle soit privée comme publique, dirigée par des milliardaires ou des idéologues qui ont mis main basse sur les plus gros organismes de sondages, organise avec ses derniers des prophéties monstrueusement auto réalisatrices. La manipulation des opinions bat son plein, à l’image des dernières enquêtes d’intentions de votes organisés en France qui en sont une nouvelle preuve s’il en fallait encore. N’oublions jamais qu’il n’y a pas plus de 5 ans ces mêmes sondeurs nous vantait une victoire presque annoncée d’une certaine candidate LR qui a fini à moins de 5% au 1er tour [+] des dernières élections présidentielles ! La fabrique de l’opinion à travers ces manipulations à l’instigation des oligarchies et des blocs bourgeois est désastreuse pour le monde, pour le vivant, pour la nature, pour Sapiens et pour la culture.

Bon ceci dit, ou cela dit, je ne sais plus quelle est la bonne formule, bref, quoiqu’il en soit, il me semble qu’il n’y a pas que la presse et les sondages qui font remonter la terrible hydre fasciste à la surface des eaux de la planète. Il y a aussi cette gauche molle d’accompagnement du capitalisme mortifère. Une gauche aux racines bourgeoises qui n’a jamais vraiment combattu ce dit capitalisme, lui assénant juste quelques petites pichenettes alors qu’il fallait le maîtriser à grand coup de groles dans les parties. Un capitalisme, tour à tour : colonialiste, affairiste, consumériste, patriarcal, extractiviste, nationaliste et j’en passe, un capitalisme qui détruit systématiquement notre Terre depuis plus de 500 ans à présent, et dont les turpitudes se sont accélérée à partir de la fameuse révolution industrielle pour en arriver à nos jours de chaos climatique et d’explosion des limites planétaires. Certes, depuis les grandes révolutions bourgeoises [+], de la première au Pays-Bas à la fin du 16e siècle, en passant par celle du Royaume-Uni au 17e, jusqu’aux révolutions américaine et française un siècle et demie plus tard, il a toujours existé une sensibilité de gauche bourgeoise face à ces turpitudes, pétrie de bonnes intentions, mais juste quand il ne s’agit pas de s’attaquer à ses privilèges. Dans le temps cette gauche bourgeoise a fini par prendre les rennes d’une social-démocratie, n’ayant à la fin des fins de socialiste que le nom. Une idéologie qui se veut égalitaire, misant tout sur une croissance infinie qui aurait pu permettre à toutes et tous d’en profiter, sans trop toucher aux plus riches des humain·es qui pourtant exploitent leurs congénères. Une bien belle fable irréaliste et délétère, une fable qui mène droit au mur. Ce qui se passe pour les élections présidentielles au Chili [+] en est un exemple moderne parmi tant d’autres. Là, le jeune président [+] sortant de gauche et qui ne se représente pas à sa succession, élu avec beaucoup d’espoir en 2021, a passé un mandat bien trop proche de la mollesse d’un centre gauche social-démocrate face aux enjeux sociaux et environnementaux, malgré tout l’apport des voix de l’extrême gauche lors de son élection. Il a ouvert la voie au retour de la pire des droites qui vient en outre et en préambule d’y gagner les élections législatives. Même s’il faut l’avouer qu’il n’a pas eu les coudées franche, n’ayant jamais eu de majorité dans son parlement. Mais il faut dire aussi qu’il n’a jamais non plus vraiment été fervent amateur d’un gauche de combat, le résultat a fini par être un désastre pour les luttes sociales et écologiques. Comme il est écrit le 17 novembre dernier, dans le toujours excellent « Monde Diplomatique » [+], je cite : « […] Élu grâce à un front démocratique anti-extrême droite plus que par une base sociale solide, le président s’est retrouvé dépendant d’alliances centristes qui ont contenu ses ambitions ; sans majorité parlementaire et sans stratégie de mobilisation, il n’a ni entamé les fondements du modèle néolibéral ni prolongé la dynamique populaire qui l’avait porté […] » à lire dans un article entier en ligne dans cette revue, intitulé : « Chili, les fruits amers de l’Estallido social » [+].

C’est tout comme la victoire électorale du président libertaro-fasciste en Argentine, pays voisin du Chili, aux dernières élections pour le renouvellement d’une partie de ses deux chambres, à la fin du mois d’octobre dernier. Il faut juste constater que dans cet autre pays du Sud de l’Amérique du Sud, le parti en face de ce fou furieux est un parti de centre-gauche qui ne propose pas de réelle alternative au marasme dans lequel il est plongé. Le renforcement de l’homme à la tronçonneuse est une aubaine pour toutes et tous les partisan·es de l’économie la plus libérale associée à une gouvernance autoritaire. La convergence entre le fascisme et la « bonne voie économique à suivre » est le leitmotiv des éditorialistes qui boivent du petit lait face à une situation totalement biaisé, en total trompe l’œil, une gauche centriste sans idée, et surtout sans aucune volonté de rompre avec le capitalisme. Pour être honnête dans ces dernières élections argentine, la participation fut extrêmement basse à peine plus de 60 % et les milliards de dollars d’aides promis par le blond décoloré de la Maison Blanche juste avant ces élections ont fait leur effet. Les chiffres d’une inflation qui a baissée et qui est passée de plus de 200 % à près de 45 % l’an sont mis en avant, mais la cure d’austérité et la récession qui en a suivie font mécaniquement baisser cette inflation. Le narratif pervers mis en avant est encore une belle manipulation de masse pour faire passer les couleuvres du ruissellement. Et là, pas sûr que le centre-gauche aurait fait une autre politique que celle qui s’y fait sur le dos du lumpenprolétariat de ce pays. Même si le péronisme n’est pas tout à fait une social-démocratie à l’européenne.

Pour revenir dans la politique française, à son niveau national, le champion de la navrante nouvelle fable de ce courant politique de centre-gauche est un certain fils de nouveau philosophe [+]. Et là nous tombons dans les zones des plus affligeantes de la pensée humaine.
Alors, au point où j’en suis de mon billet du jour, je dois vous avouer que cela me chagrine sincèrement de casser du sucre sur le dos de la social-démocratie [+] qui a bercé d’illusions tant de gens sincères, même bourgeois. Ça me chagrine car tout au long de son existence elle a pu vouloir changer le monde, et même être révolutionnaire avant d’être réformiste. Mais hélas au bout de près de deux siècles, nous en constatons bien l’impasse. Et comme l’imaginait déjà Marx dès sa genèse au tournant des révolutions ouvrières dans l’Europe du 19e siècle, la social-démocratie est une alliance de circonstance fondée sur la défense de deux revendications : d’une part l’avènement d’un régime démocratique républicain soutenu par la petite bourgeoisie, et d’autre part, les revendications sociales exigées par la classe ouvrière. Sans vouloir être pessimiste, la convergence a toujours du mal à se mettre en place, il me semble !
Une fois n’est pas coutume, je vais citer Marx qui décrit la naissance de la social-démocratie en ces termes : « On enleva aux revendications sociales du prolétariat leur pointe révolutionnaire et on leur donna une tournure démocratique. On enleva aux revendications démocratiques de la petite-bourgeoisie leur forme purement politique et l’on fit ressortir leur pointe socialiste. C’est ainsi que fut créée la social-démocratie. »
Même si Marx voyait dans le réformisme social-démocrate une pointe révolutionnaire, il la savait bien émoussée. Aujourd’hui, à l’image du fameux fils du philosophe, cette pauvre social-démocratie européenne, comme américaine, est gangrénée par des opportunistes à la pensée et aux agissements clairement de droite, sans aucune parcelle d’idée de progrès pour nos sociétés humaines. C’est facile vu la porosité bourgeoise de son substrat social. Fort heureusement, j’ai bien l’impression que ce fameux candidat à l’investiture suprême en France, compagnon de la présentatrice vedette du journal télévisé de la télévision publique, est tout de même en train de se dégonfler comme la baudruche qu’il est, ainsi que nous le disent Camille Chastrusse [+] et Victor-Ulysse Sultra [+] de « Blast » [+] dans leur dernière vidéo de « Dissolution » [+] sur YouTube intitulé : « Gluksmann : le néant et l’imposture » [+].

De nos jours, la propagande du bloc bourgeois a la tendance lourde de vouloir classer quelques politiques de droite et de centre-droite dans des tiroirs de gauche et donc de les penser et nommer sociales et sociaux-démocrates, comme, au hasard, un certain ancien président et actuel député de Corrèze ou autre député de la 6e circonscription l’Essonne, ou encore une présidente de la région Occitanie. Ce personnel politique, malgré la rose qu’il tient à la main n’en reste pas moins à droite. J’avoue que pendant longtemps, sans trop d’illusion, j’ai voulu croire à une différence concrète et que l’ennemi commun était à coup sûr la finance. Comme le chantait en 1971 Roger Daltrey avec les Who : « Won’t get fooled again! » [+], j’en suis bien revenu.
Et arrivé à cet autre point de mon billet du jour, il me semble bon de rappeler que sur l’échiquier politique on voit les choses différemment selon que l’on place son point de vue à droite ou à gauche. Surtout selon où nous mettons le curseur des idées politiques. Et franchement on peut vraiment affirmer que le Parti Socialiste est de lui-même sorti du champs de la social-démocratie pour accéder aux rivages du social-libéralisme depuis bien longtemps et se retrouver dans l’escarcelle bourgeoise du camp de l’accompagnement et du soutien au capitalisme, laissant loin le réformisme qui l’amena au pouvoir en 1981, entrainant avec lui beaucoup du Parti Communiste qui a bien oublié la révolution prolétarienne, sans compter les écologistes dits de gauche qui ne savent plus où se situer face à la bourgeoisie, on peut aussi constater que La France Insoumise n’est pas vraiment un parti révolutionnaire, malgré quelques saillies anti-capitalistes. Ce mouvement s’inscrit presque entièrement dans la définition de la social-démocratie que Marx nous faisait et dont je viens de me faire l’écho. Malgré tout ce que peut dire une droite crapuleuse et falsificatrice, de sa gauche à son extrême décérébrée, il faut marteler sans cesse que LFI est très loin d’être un mouvement politique d’extrême-gauche. Ce mouvement a juste remplacé le le P.S. dans la matrice social-démocrate française. Et dans cet environnement politique français et européen dramatiquement radicalisé à droite [+], même les trotskystes du NPA ont du mal à tenir leur rang révolutionnaire, ce n’est pas peu dire.

Ce qui me ramène du côté de mes pénates occitanes et plus précisément dans ma vieille Cité mondine entre Garonne et Canal du Midi, et surtout des prochaines élections municipales. Je le sais les élections sont des pièges à cons, totalement biaisées à travers les filtres d’un système de représentativité imaginé par et pour les classes dominantes. C’est d’autant plus visible quand on se trouve dans une grande ville loin de la capitale, comme ici à Toulouse. Mais voilà si nous ne voulons pas trop subir l’arbitraire de cette démocratie bourgeoise nous sommes obligés d’en subir les règles du jeu et d’essayer de ramer contre.
Alors que la désormais 3e ville de France a fermé, depuis le 3 novembre dernier, l’accès direct aux urgences de ses deux plus gros hôpitaux et donc de la plus grosse partie de son système CHU, ainsi que nous le précise le site web de Révolution Permanente [+], dans sa rubrique « Austérité », sous le titre : « Casse de l’hôpital : le CHU de Toulouse annonce la fermeture partielle de ses urgences » [+], les armes se fourbissent en vue de la confrontation municipale ultime.

Et là j’ai deux trois mots à dire. J’avoue que je ne décolère pas depuis quelques jours. Et même si je m’y attendais, une nouvelle fois la machine à perdre de gauche est en train d’ouvrir un joli boulevard à la pire engeance politique qui se pavane à la tête de ma pauvre capitale occitane depuis des décennies et à ces notables de province qui ont tué tout ce qui fait la splendeur et la création bouillonnante de cette ville. Une machine à perdre pilotée par une gauche cassoulet inepte, des opportunistes revanchards et des écologistes de salon. Désolé les gars mais le disque n’est pas le bon.
Pour tout vous dire, je n’en étais pas vraiment sûr jusqu’alors, mais aux vues de ces rebondissements et du ralliement des Archipels Citoyens à la social traîtrise, il est clair que j’ai choisi la voix, ou la voie, du soutien de celles et ceux des quartiers populaires qui se battent au jour le jour pour plus de dignité avec « l’Assemblée des Quartiers » [+] ainsi que les candidat·es de la liste du député LFI François Piquemal [+], qui est entré en lice il y a déjà quelques temps. Même si son programme est loin de prendre en compte les suggestions et conseils que nous avions présenté à son équipe avec le collectif des « Travailleur·euses de l’Art 31 » [+], et que, comme mes camarades de lutte, j’en suis très mécontentant et ne me prive pas de le dire ici publiquement, il s’avère que le programme de cette liste reste celui qui est le mieux représentatif des intérêts de la population toulousaine dans sa globalité.

Je vais laisser les paradigmes de la politique politicienne, et le rififi à Pipoland que sont les tractations menées par les partis de la gauche bourgeoise et petit-bourgeoise qui sont finalement assez minables et mesquines pour se vautrer dans la stupidité cupide. Je vais revenir vers les contrées artistiques pour me centrer sur mon activité, tel le gros nombriliste boomer que je suis ! Bon peut-être pas tout à fait, puisque je vais vous parler du gros événement annuel qui anime ces quartiers Bonnefoy et Borderouge à travers ses lieux et ateliers d’artistes. En effet le weekend qui arrive, se tiendra le 7e et peut-être l’ultime édition du marché de Noël des artistes et de leurs ateliers au cœur de ce grand Nord-Est de la Ville rose. L’ultime car tout le monde sait maintenant que Lieu-Commun, artist run-space [+] va être obligé de déménager vers on ne sait où pour cause de fin de bail au 31 décembre 2026, que le BBB – Centre d’art [+] n’est pas au mieux de sa forme et à deux doigts de disparaître, que la démolition va bon train dans ces quartiers populaires sur fond de spéculation immobilière, et que dans l’ensemble les arts plastiques et visuels à Toulouse sont au fond du trou. En tout cas et en attendant l’apocalypse selon je ne sais quel saint, les samedi 6 et dimanche 7 décembre prochain une grande partie des ateliers d’artistes de cette zone se retrouvent entre l’Imagerie [+] et Lieu-Commun [+] de 11h à 22h30 selon le lieu et le jour, pour montrer et diffuser leurs travaux, à la vente, à la vue, au prêt et à la discussion ! Et aussi pour rencontrer le public dans une soirée festive sous le signe de la fête foraine populaire dans mon cher Atelier TA [+] et au Collectif IPN [+] le samedi 6 de 16h à minuit afin de bien rigoler entre vous et nous.

Alors je sais qu’il y a plein d’autres marchés de Noël d’artiste à Toulouse et ailleurs, les ami·es qui les animent me pardonneront de faire la promo du notre. Mais venez nombreuses et nombreux du côté de Bonnefoy, nous vous attendons avec joie et bonne humeur malgré nos désarrois et nos sidérations d’artistes face à un monde qui se consume. Que l’on se rencontre en chair et en os, avant que l’imbécilité humaine n’ait eu raison de nos pauvres peaux, soyons folles autant que fous, car comme l’explique si bien le philosophe Miguel Benasayag [+] à travers un article au sujet des technologies de l’Intelligence Artificielle, dans une interview qu’il a donné il y a quelque temps au média indépendant « La relève et la peste » [+], je cite : « Il y a deux types de nouveaux commissaires politiques aujourd’hui : les coachs et les conseillers bancaires. Ils se mêlent de notre vie, pourquoi on vit, ce qui est correct ou non » à lire dans l’article de ce média intitulé « Le formatage de l’humanité par l’IA entraîne fatigue, dépression et isolement » [+].
Sur ces paroles pas très joyeuses, mais qui nous appellent à l’obligation de la rébellion, tout du moins intellectuelle, je vous laisse. Je finis la rédaction de ce présent éditorial du temps qui passe sous mes yeux car je vais rejoindre ma chère et tendre Thérèse Pitte [+]. Tout d’abord pour petit-déjeuner, car ainsi commence l’action révolutionnaire, avec humour ! Et puis avec qui, ainsi qu’avec d’autres, nous allons préparer ces rencontres de ce prochain weekend à Bonnefoy. Car en plus d’être une formidable photographe, Thérèse est, comme à l’habitude, une cheville ouvrière et merveilleuse de ces actions essentielles, pour le public et les artiste, d’un art en mouvement. Une artiste qui a toujours su et qui sait défendre tous les artistes quoiqu’il advienne.

Sur mon site web philippepitet.com, je vous laisse avec la photo de quelques petites cartes postales d’un coin de montagne pyrénéenne, cartes postales faites main, telles des reproductions uniques de copiste que vous retrouverez lors de ce prochain marché de Noël. Après avoir clos la rédaction de cette Chronique du lundi 1er décembre 2025, je vais l’enregistrer en studio afin de la diffuser sur les ondes et les électrons de la Radio FMR [+] de Toulouse. Si vous prennez connaissance de mes mots par ce canal radiophonique, vous entendez en fond le tout dernier morceau de ma série chinoise qui illustra avec d’autres une performance radiophonique que j’avais menée il y a maintenant plus de 22 ans entre Yangzi Jiang et Garona. Et tant que j’y suis, chères auditrices et cher auditeurs n’hésitez pas à aller sur le texte de ce billet, vous y trouverez tous les liens de mes nombreuses références et sources.
Je vous souhaite une belle semaine de début décembre et comme à l’habitude vous dis dans ma langue grand-maternelle, a diluns venent, addisiatz amigas e amics.

Photos de Cartes Postales faites main "Montanhas" du plasticien Philippe Pitet - novembre 2025
Montanhas • Pirenèus – Cartes Postales 2025

Audio diffusé la semaine du 1er décembre 2025 sur les ondes de Radio FMR -Toulouse :


La suite la semaine prochaine pour une nouvelle « Chronique du lundi »…

PhP

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