05.02.2024 – Chronique du lundi

5 février 2024 § 1 commentaire

Comme une interruption momentanée du son et de l’image

« Dans la vie quand tout roule normalement pour sa petite personne on ne se doute pas comment tous les soucis peuvent s’enchaîner pour s’accumuler en gros nuages d’orages puis en tempête sur sa pauvre tête ». C’est avec cette drôle de citation sortie tout droit d’un dialogue entendu dans un de mes rêves de la nuit passée que je vous accueille ce matin, ami·e·s qui me rejoignez dans les mots de cette Chronique du lundi 5 février 2024 et à qui j’y souhaite la bienvenue.

Alors oui, cette nuit j’ai rêvé de dialogues vraiment bizarres à travers quelques délires dus à la fièvre. Voilà plusieurs jours que les capteurs de mon corps s’affolent. L’âge peut-être ? En attendant je me suis retrouvé régulièrement cloué au lit par des soucis de santé discontinus certes mais toujours pénibles dans leurs effets, cela dit sans être chochotte. Hier dimanche fut un de ces moments passés dans la torpeur d’une forte fièvre. Une fièvre qui perdure aujourd’hui alors que j’ai beaucoup trop à faire pour qu’elle ne me barre le chemin, et pourtant !

Alors malgré tout ce que j’aurais à dire du monde qui étale ses soubresauts sous nos yeux, et à l’inverse malgré de chouettes choses à voir sur le front de l’art, je n’ai ni la force ni le courage d’aller plus loin dans la chronique du jour et vais vous laisser sur votre faim pas plus tard que maintenant, sans développer quoi que ce soit. Je vous prie de bien vouloir m’en excuser. En fait c’est dans la nuit et depuis mon lit sous ma couette que je vous narre ces quelques bribes de ma vie enfiévrée du moment, je n’aurai pas la force d’y revenir plus tard. Vous m’en voyez bien contrit je vous l’assure, mais parfois on ne peut pas aller plus vite que le vent.

Heureusement à mes côtés le doux souffle de ma chère et tendre Thérèse [+] rassure le complexe amygdalien au plus profond des neurones de mon cerveau. Alors je vous laisse pour aujourd’hui et vous promets de revenir en forme dès lundi prochain. En attendant je vous laisse avec une image de « Ne va jamais à Navatar » cette série de photos du quotidien intime en temps de pandémie créée en écho journalier de « Bienvenue en Chamanie » de Thérèse. Nous vous avions promis une édition de ce travail qui regroupe un corpus de près de 200 photos. La vie qui passe, les imprévus et les incidents à travers cette dernière, les moyens, tout ceci retarde ce projet. Je suis sûr qu’il verra bien le jour un jour !

Je vous laisse pour de bon, vous souhaite une belle semaine et vous donne rendez-vous, si les petits cochons ne m’ont pas mangé, lundi prochain. Addisiatz !

Photo issue de la série "Ne vas jamais à Navatar" - Saison #1. Une série de photographie de confinement par Philippe Pitet
Photo de la Saison #Y de la série « Na vas jamais à Navatar » – Mai 2020

La suite la semaine prochaine pour une nouvelle « Chronique du lundi »…

PhP

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