08.11.2021 – Chronique du lundi
8 novembre 2021 § Poster un commentaire
Les mystères de l’entre-deux…
Tel le globe-trotter domestique qui revient dans ses pénates toutes temporaires qu’elles fussent, c’est d’ici de Toulouse avant de repartir vers les sources de la Drôme que je vous souhaite la bienvenue dans ma 56e chronique du lundi, chronique du 8 novembre 2021.
Aujourd’hui beaucoup de choses me trottent dans la tête, un peu trop car j’avais pris pléthore de notes ces derniers jours passés à l’ombre des pins des Landes. Un peu comme depuis la rentrée de septembre, la chronique d’aujourd’hui se voit construite de bric et de broc. Je vais tout de même essayer de mieux l’architecturer ou plutôt d’être plus cohérent que dans celle de la semaine dernière qui fut écrite du côté de la côte atlantique, d’abord l’espace d’un petit matin au Pays basque et ensuite le temps d’une soirée dans le Nord des Landes, entrecoupée par une rupture entre les deux, si vous vous en rappelez, sinon il ne vous reste plus qu’à la lire. Aujourd’hui je suis bien campé dans mon atelier toulousain pour essayer d’écrire d’un trait ce présent texte qui vous narre ma vision du temps qui passe sous mes yeux.
Il est vrai que j’avais pris l’habitude de ne jamais écrire mes chroniques en un seul instant de ces journées du lundi. Une écriture souvent démarrée dans la pénombre du réveil pour finir à l’ombre du dîner. Une fois n’est pas coutume je vais essayer d’écrire celle-ci en évitant d’y revenir en plusieurs étapes. Je tenais à vous en prévenir, car cela risque de changer le style et surtout le rythme de ce texte éditorial présent face à ceux des semaines précédentes. Texte assez court d’ailleurs aujourd’hui car le boulot de chargé de production que j’exerce au sein de cette formidable équipe de Combustible [+], en parallèle de mon travail artistique, est assez prenant en ce moment…
Trêve de dissertation ego-centrée, revenons à cette chronique du jour où évidemment il y sera question d’art, de sociologie politique, de politique aussi étrange qu’étrangère, d’histoire et peut-être aussi un peu de moquerie.
Alors pour commencer, je me dis que je vais débuter mon récit du jour avec un peu d’actualité (ou presque !) de l’art. En fait je ne savais pas comment le placer depuis plusieurs chroniques, mais il y a quelques semaines à Toulouse, Thérèse [+] et moi nous étions rendus dans un vernissage d’une expo organisée à l’Imagerie [+], espace à la fois atelier qui donne des cours de pratiques plastiques et galerie d’exposition. Ce lieu d’art se trouve dans le quartier du Faubourg Bonnefoy, pas loin d’autres lieux d’art dont je vous parle souvent comme Lieu-Commun [+], Trois‿a [+], IPN [+] ou encore notre Atelier TA [+]. Je vous avoue que bien qu’étant dans ce quartier où se trouve nos ateliers de travail nous n’avions jamais mis les pieds à l’Imagerie. Hors donc c’est dans une grande foule de curieuses et curieux qui se pressait dans cet endroit ce soir là que nous l’avons découverte.
De cette exposition où l’on trouvait vraiment de tout, je ne sait trop quoi dire. Si ce n’est que j’ai bien aimé les toiles du peintre Thierry Carrier [+] et son hyperréalisme. Alors oui, de cette expérience car c’en est une, je peux tout de même dire que l’on découvre toujours des choses y compris devant sa porte et qu’aussi on ne parle jamais assez avec les artistes même celles et ceux ci nous paraissent être loin de nos propres paradigmes.
Alors oui, le modèle économique de l’Imagerie est clairement commercial, et pourquoi pas ? L’art commercial est-ce mal ? C’est un peu ce type d’interrogations, que l’on ne devrait même pas se poser, dont il est justement question dans une émission de France Culture que j’ai bien aimée autour d’un entretien entre le journaliste Matthieu Garigou-Lagrange et Hervé di Rosa et que je vous laisse en lien ici [+], sur mon blog.
Pour poursuivre et passer du coq à l’âne comme on dit quand on ne sait quoi dire mieux, et que l’on est en panne de style transitoire, je pourrais vous entretenir de nouvelles qui n’en sont plus à force d’être passée et dont je voulais vous parler depuis déjà plus de trois semaines sans avoir pu les placer dans mes précédentes chroniques.
En effet, je voulais évoquer la mémoire de Pierre Pinoncelli [+], cet artiste qui est décédé il y a près d’un mois. Un condisciple de Ben Vautier [+] et de l’École de Nice [+] qui fut essentiellement connu pour son art de l’action subversive et de la provocation, petite info à destination de celles et ceux qui ne le connaitraient pas.
Je dois dire que ce qui me paraît intéressant avec ces artistes provocateurs, iconoclastes, qui n’ont que peu de limites, bien souvent assez ego-centrés, ce ne sont pas les objets formels qu’ils produisent mais ce sont les comportements qu’ils adoptent comme autant d’étapes d’une perpétuelle performance. Ce qui fait œuvre : c’est eux. Et cela a même parfois du sens !
Je pense que Pinoncelli était totalement sincère dans sa volonté de faire éclater tous les carcans et de brûler les icônes imbéciles que le marché tend à installer en permanence dans le milieu de l’art, et donc surtout de s’inscrire dans une désacralisation permanente de « l’œuvre d’art ». Je n’aime pas forcément son travail plastique, j’aime les questions qu’il pose. Alors oui je suis assez peiné de sa disparition, bien qu’il nous ait quitté a un âge honorable après une carrière artistique assurément remplie et verte jusqu’à tard. Bien sûr Pierre Pinoncelli, n’est pas à résumer dans ses actes de vandalismes comme celui avec l’urinoir de Duchamp [+], mais son histoire est à mettre dans la perspective d’une créativité propre au vandalisme.
Sur le sujet, je vous conseille la lecture de cet article en lien ici [+] de Christian Ruby, philosophe et membre de la commission Recherches du ministère de la Culture, dans le média en ligne Nonfiction [+] à propos de la récente thèse d’une jeune docteure en sociologie, Anne Bessette [+], sur le vandalisme d’œuvres d’art, tout un programme.
Pinoncelli ramène ma mémoire à ces années faussement fastes pour les idées de gauche que furent ces années ’50 à ’70 du XXe siècle. Du temps de l’École de Nice [+], de Fluxus [+], des Nouveaux Réalistes [+] ou autres Support/Surface [+], ce temps de l’Internationale Situationniste [+], où les paroles progressistes pouvaient avoir l’air de dominer les débats, d’avoir pignon sur rue et de mener le monde, il ne reste rien car rassurons nous ce n’était qu’une impression de surface. Face à la puissance réactionnaire du bloc bourgeois dominant sachant exacerber les penchants nombrilistes des individu·e·s, ces idées dites de progrès n’ont pas imprégné la société plus loin que par quelques très légères touches.
Je pense que dire l’inverse c’est un peu comme affirmer qu’un jour, quelque part dans l’histoire et dans le Monde, l’expérience d’une réelle mise en œuvre du communisme ait eu lieu, je ne parle même pas de l’expérimentation d’une gouvernance anarchiste. Et même si au cours des siècles passés ces aventures ont pu exister elles ont été écrasées de peur que leur réussite ne mette à mal la loi du plus fort érigée en dogme depuis l’invention de l’agriculture.
Pourtant les origines de l’humanité et ce que l’on commence à connaître, nous apprend ce que nous pourrions être capable d’imaginer d’autres communs, je vous laisse lire un article du journal The Guardian [+], c’est en anglais mais très instructif sur la nature notre espèce et sur ses cultures.
Mais hélas, les prédations d’une minorité nous envoient droit au mur. Et aujourd’hui il y a ces obsessions de dénoncer toute idée de progressisme social, surtout si ce progressisme s’inscrit en plus dans cette prise de conscience que si les humaines et les humains veulent survivre ils doivent mieux partager et sauvegarder toutes les ressources de la planète. C’est à dire se battre pour une réelle justice sociale dans un cadre décroissant. Du coup en bon petits soldats de l’ordo libéralisme les thuriféraires de la pensée conservatrice organisent un rejet général et un discrédit de tout discours de gauche non capitaliste, et de toutes ses ascendances dans l’histoire de la pensée moderne. Comme par exemple le tiers-mondialisme des années fastes de la contre-culture. une vieille émission de France Cul à propos du soutien de Khomeiny par Sartre et Foucault [+] en est un exemple. Je veux bien que l’on fasse l’inventaire des erreurs de la pensée, mais les imbéciles qui louent la mémoire d’un philosophe de droite l’opposant à celle des deux précédents, à écouter toujours sur France Cul [+], ne sont que des éléments de cette démolition systémique, ceci dit sans vouloir faire mon parano de gauche et de base.
C’est sûr qu’il n’est pas question ici d’excuser les erreurs de jugements de certaines et certains intellectuel·le·s travers leurs soutiens à certaines causes peu défendables qu’ils ont pourtant défendues.
Mais il faut être honnête jusqu’au bout et reconnaître que même si elles ou ils se sont fourfoyé·e·s, aucun de ces penseurs ni aucune de ces penseuses n’ont roulé un jour contre l’humanité. Tout n’est question que de contexte et décontextualiser est un acte que je trouve crapuleux intellectuellement.
Alors que je serais plutôt adepte de la pensée d’Emma Goldmann ou de Mikhaïl Bakounine, c’est un peu comme si je vous affirmais que toutes celles et tous ceux que j’ai croisé·e·s dans ma vie, et qui étaient ou sont engagé·e·s et militaient ou militent dans des mouvements se réclamant de Marx, de Lénine ou même de Trotsky, militaient pour l’oppression et les discriminations. Rendons leur au moins cette grâce que leurs engagements ont bien sûr toujours été mus par la volonté de voir l’avènement d’un monde meilleur et surtout d’un monde meilleur pour toutes et tous.
Voilà longtemps que je le dis, aujourd’hui cela se confirme, nous assistons au retour des cloportes, nous assistons à la libération de la parole aigrie et stupide, nous assistons à l’avénement du contre-sens des imbéciles se croyant tout permis dans un monde de confusion totale qui perd toute mémoire sensée.
S’attaquer aux concepts intellectuels développés dans un courant de pensée progressiste amène forcément à des imbécilités comme, au hasard, à l’attaque facile et en règle contre les énergies renouvelables [+], entre-autres…
Ou encore ces attaques toujours aussi systématiques contre les combats féministes et surtout contre les femmes qui portent aujourd’hui ce combat, histoire de le discréditer toujours plus comme on peut le lire dans cet article en lien [+]. Ou pire encore cette séquence hallucinante d’une émission d’ »info-divertissement » sur une chaîne du service public de la télévision française avec un rire complice et dérangeant de sa présentatrice phare et dont on peut lire la critique bien sentie dans un billet de Maria Malagardis sur Libé [+].
Ces attaques soutenues par un inconscient collectif de la culture patriarcale, viennent évidemment toujours de ce camp où le moindre mouvement vers une justice sociale égale pour toutes et tous paraît insupportable. Alors bien sûr les liens que j’ai mis ici sur mon site (pour les auditrices et les auditeurs) afin d’illustrer mon propos renvoie sur des organes d’information de la gauche du bloc bourgeois, Slate et Libération pour ne pas les citer, et donc ne nous faisons aucune illusion pour ces médias, il ne s’agit de dénoncer les inégalités uniquement quand cela touche une partie l’électorat de la classe dirigeante de la fameuse démocratie libérale, en l’occurrence les femmes de la classe moyenne. Ce qui provoque pas mal de « rififi à Pipoland », pour paraphraser une célèbre réplique dans la bd « Les Closh » de Dodo et Ben Radis [+] à la bonne époque de Métal Hurlant [+], ce qui n’a absolument rien à voir avec mon sujet, mais que j’avais envie de placer pour détendre un peu l’atmosphère !
Bon je vous parlais aujourd’hui de chronique bien mieux structurée que la précédente, j’ai un peu l’impression de rater mon objectif et comme à mon habitude de partir dans tous les sens. Mais qu’à cela ne tienne, je vais tenter de recentrer le propos en revenant sur ces fictions contemporaines que le monde de la communication convergeant avec le monde numérique essaye de nous vendre dans un contexte de démocratie libérale et capitaliste. Et donc la fabrication d’un candidat à la présidence de la république française de toute pièce, comme de personnages intellectuels de fictions. J’ai cette impression que sans nous en rendre réellement compte, nous entrons et nageons dans des eaux troubles qui ressemblent à des mondes dystopiques sortis de l’univers d’un Mamoru Oshii [+] ou autre Masamune Shirow [+].
En fait c’est un post de plus d’un mois et demie sur le fameux réseau dit social du sieur Zuckerberg qui m’a amené ses réflexions dans les zones de gauche comme de droite des couches frontales de mon cerveau. Une courte publication, ici en lien [+], à propos de la candidature (ou non !) de Zemmour, émanant d’un·e personnage de fiction (ou non !) du nom de Zoé Sagan. Je ne connaissais pas du tout ce personnage [+] n’ayant que peu d’appétence pour les buzz franco-parisiano-centrés sur le web. Un·e personnage de fiction qui se revendique être une Intelligence Artificielle et qui a déjà écrit un livre apparemment remarqué du nom de « Kétamine », dont je n’ai pas encore lu une seule ligne je l’avoue. Personnage qui avait pris la plume pour défendre fort bien le mouvement des Gilets Jaunes avant la pandémie. Ce nom est apparu dans la fameuse affaire Griveaux – Pavlenski [+], j’étais vraiment passé à côté. On a l’impression qu’il s’agit d’une création conceptuelle de combat émanant d’une ou d’un artiste contemporain, voire plusieurs, ce qui n’est pas fait pour me déplaire.
Quant à Zemmour, oui, effectivement, sa construction paraît bien artificielle, mais à l’inverse de ce que pouvait dire l’intelligence artificielle sus citée, je ne la crois pas si fragile. Il en faut peu pour que la mayonnaise ne prenne. Ses promoteurs s’y emploient coûte que coûte, surtout quand on apprend par la bande qu’en gros titres des médias qui essayent de faire prendre cette fameuse mayonnaise, que le sieur Zemmour annonçait salle pleine au Zénith de Nantes avec 1500 personnes alors que cette salle peut en accueillir 9000. La presse a préféré parler des échauffourées qui ont eu lieu autour de ce même Zénith de Nantes. Les mots ont un sens, décrypter les vocables informatifs a aussi autant de sens que d’utilité.
Oui les mots ont un sens et ce que l’on nous vend à longueur d’informations n’a pas toujours le sens de la réalité des faits. Ainsi est la dure logique du journalisme actuel totalement noyauté par l’idéologie triomphante autant que mortifère de l’économie du marché et du capitaliste. Pour exemple sur lequel voilà longtemps je voulais venir, on nous a vendu à tort et à travers le fameux modèle économique vertueux allemand, prenant souvent pour cible de façon totalement crapuleuse et xénophobe les comportements de l’Outre-Rhin quand cela nous convenait en contre-partie. La réalité est toute autre, le peuple allemand est tout aussi soumis que celui de France aux pressions du marché qui finit toujours par écraser l’individu. Et les allemand·e·s qui trinquent avec la note salée du tournant énergétique [+] s’en rendent compte amèrement. Il y a fort à parier que la fin du bien peu glorieux règne Merkel [+] ni change rien. Voilà la bien triste réalité de ce modèle allemand que l’on essaye de nous vendre à chaque instant, tout en fustigeant les allemands en bon crétins de français (l’inverse est aussi fort courant il faut l’avouer)…
Dans tous les cas tout ceci me conforte dans l’idée qu’il n’y a pas de généralité politique à tirer de comportements qui seraient issus d’un génie particulier d’une nation. À l’image de nombreuses et nombreux révolutionnaires combattant·e·s du début de la cause ouvrière et prolétaire dès le 19e siècle, je suis foncièrement contre toute idée de nationalisme et de nation. Il y a juste des comportements de dominations qu’il faut combattre dans tous les groupes humains qui les mettent en œuvre. C’est un peu cela l’engagement politique et artistique que j’essaye de suivre depuis toujours. Et même si ce n’est pas si simple, il y a une gauche qui devrait s’engager dans ces combats, à l’instar de ce que nous disait Deleuze [+], car pour les cerveaux rongé par les idéologies de droite qui vont du pire conservatisme fascisant au libéralisme économique le plus débridé, l’inégalité inéluctable est érigée comme principe, ainsi que l’explique si bien Annie Ernaux [+] en filigrane tout au long de son œuvre et surtout dans cet article du journal le Monde qui a déjà plus de 10 ans en lien [+] ici même sur le blog de mon site.
Je vais bientôt arriver à la fin de cette 56e chronique du lundi, non sans rester dans l’art du combat et le combat de l’art pour vous rappeler qu’il y a deux semaines je vous annonçais la naissance toute chaude du site imagerie de combat point art [+] tout attaché et en minuscules, comme on dit quand on annonce l’adresse URL d’un site web.
Alors oui, lundi dernier, bien que je vous narrais quelques sujets proches de la nature et de la nature de l’art, je vous parlais surtout de notre petit temps de quelques jours au Pays basque en famille et en dilettante avec une ribambelle d’ami·e·s artistes, mais vous devriez savoir qu’il n’y a jamais trop de temps morts chez les artistes, même quand ils ou elles sont sensé·e·s avoir les neurones en congés.
De ce site web et de son contenu avec son instigatrice Sophie Marty Edward [+], même si ce n’était pas le sujet du moment, nous avions donc parlé durant tout ce long weekend précédent le dernier, c’est à dire durant le fameux weekend de la Toussaint et de tous les morts. Du coup le site est sur les rails et je suis très heureux de vous annoncer la première exposition virtuelle qui débutera à l’horizon du début de la prochaine année. Surtout dès que le modèle économique participatif choisi pour rétribuer les artistes sera viable, car il est évident que tout ne se fait pas d’amour et d’eau fraîche. Comme on dit : restez connecté·e·s !
À vous parler d’art et de combat pour terminer mon texte de ce lundi 8 novembre 2021, même s’il n’y a pas réellement d’actualité, si ce n’est sa participation en d début 2021 à l’ouvrage « Tous témoins », chez Actes Sud [+], je ne peux pas passer sous silence l’artiste Syrien Nahja Albukai [+] et ses dessins marqués au fer rouge. Cet artiste fut torturé dans les geôles syriennes des mois durant pour avoir critiqué le régime de Bachar al-Assad à la suite des soulèvement de 2011 Regardez et écoutez le sur un petit sujet vidéo en lien ici [+], magnifique traits de crayon comme magnifiques traits de l’esprit.
Et à parler de dessins contemporains, je ne voudrais pas vous quitter sans évoquer une dernière information et non des moindres puisque je suis dans le programme de l’édition 2021.
En effet, le 11e festival Graphéine [+] organisé à Toulouse par le Réseau Pink-Pong [+] vient de débuter, il se déroulera sur ces mois de novembre et décembre 2021, beaucoup à voir et visiter, si vous êtes du côté de Toulouse n’hésitez pas à vous rendre dans un des lieux de ce festival. Pour ma part j’y interviendrai le 2 décembre prochain, mais je vous tiendrai au courant du qui, quoi, où d’ici là.
Ainsi se termine cette chronique, j’ai donc accompli ce que j’avais promis, l’écriture d’une chronique du lundi d’un trait, entre la poire et le fromage comme on dit en gastronome, un peu entre deux quoi. Sur ce raisonnement un tantinet gastronomique, allons savoir pourquoi, je vous laisse en compagnie d’une peinture de mon temps jadis, je vous souhaite une belle semaine et vous dis à la semaine prochaine pour une nouvelle chronique du lundi, adiu amics.

La suite la semaine prochaine pour une nouvelle « Chronique du lundi »…
PhP
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