27.06.2022 – Chronique du lundi
27 juin 2022 § 1 commentaire
Comme un immense rien !
Amies lectrices, auditrices, amis auditeurs ou lecteurs, ainsi que les internaute de tous bords qui entrez dans cette Chronique du lundi 27 juin 2022 à travers les divers médias qui la supportent, mais qui reviennent tous et toujours vers mon site, je vous y souhaite une très sincère bienvenue.
Et bien oui nous sommes le dernier lundi de juin de cette année 2022. De mon souvenir de soixantenaire je n’avais jamais vu un mois de juin aussi chaud, en tous cas dans le midi toulousain où je réside tout de même principalement. Bien sûr il fut des temps où je résidais dans des régions plus méditerranéennes du sud voire tropicales. Les températures y était forcément généralement plus chaude, mais même là en juin ces records de températures sur les bords de la Garonne restent improbables dans notre imagination médusée. Ce n’est malheureusement qu’un début. Fort heureusement depuis hier matin la pluie est venue rafraîchir la Ville rose pour quelques jours.
Cela dit, vous vous doutez que je ne vais pas passer mon temps d’aujourd’hui à vous entretenir de la pluie ou du beau temps. Mais cette séquence caniculaire longue et exceptionnelle dans nos contrées nous en dit long sur l’enfer qui nous attend.
Ce qui est étonnant quand je discute autour de moi, c’est le niveau de prise de conscience du problème par les sapiens que nous sommes. On aurait pu croire avec bon sens que le clivage de cette conscience écologique n’était ni de droite, ni de gauche. Hélas pour celles et ceux du bloc bourgeois qui essayent de faire avaler des couleuvres : c’est tout faux quand il s’agit de faits concrets comme ce réchauffement climatique [+]. C’est un peu comme la fable de la disparition de la lutte des classes [+].
Alors avant de me lancer plus loin dans une chronique où je vais essayer de balayer de mon propos un large champs d’interrogations au sujet de notre société dans ce temps qui passe sous nos yeux et d’essayer de me remémorer toutes les histoires dont j’aurais voulu vous entretenir depuis des semaines, semaines qui furent toutes écrasées par l’obsession que j’ai eu à vous assommer de mes considérations politiques et électorales, je voulais tout de même partager cet article de Fakir, ici en lien [+], qui est une véritable bombe à mon sens, vu tout ce qu’il révèle des pratiques de la gestion de l’information et de la manipulation sans vergogne de masses.
Comment faire confiance en des gens qui tiennent pour normaux des agissements aussi douteux. Et surtout que dire quand ces agissements sont pires que toutes les sources les plus débridées des fake news sur le marché du complotisme.
Heureusement d’autres liens vers lesquels surfer sur le web sont bien plus sympathiques. Il y a quelques semaines je vous avais parlé de ce monde des blogs d’artistes que je découvre souvent avec plaisir. Celui dont je voulais vous parler n’est pas un simple blog, ni un blog d’artiste, enfin si, c’est un blog mais aussi : tout un site. Un site qui nous amène dans l’univers et le labeur de quelqu’un dont j’apprécie ce formidable travail de lien social et sensé, autant que sensible, qu’il délivre grâce à ses « Nouveaux Terriens ». Son nom est Ludovic Roif. Il explore le monde de la ruralité à travers une multitude de prismes qui font du bien à notre intelligence. Le site « lesnouveauxterriens.fr » [+] est un outil de rendu de son boulot sur le terrain, entre poésie, art culinaire, explorations sonores et radiophoniques, étude sociologique, introspection sportive, rencontres et réflexions universitaires. Bref beaucoup de bonheur à le lire et l’écouter, je vous y enjoins. Son dernier projet « Amusa-Boca », ici en lien [+], s’annonce savoureux et à suivre !
Dans un autre registre, j’ai aussi trouvé dernièrement un blog intitulé bonpote.com [+] qui a l’air d’être déjà assez connu dans le monde de la blogosphère comme on dit. Il mérite la visite tant l’info qui y est contenue à propos de la dégradation de nos environnements est fournie ainsi que documentée, vous pourrez aussi y lire la profession de foi de l’auteur de ce blog qui ne cache pas l’ambiguïté de son parcours [+], il a l’air sincère et concerné, à suivre donc aussi…
La semaine dernière je vous avais dit que j’arrêtais mes commentaires à tout va sur la politique intérieure de notre hexagone continental jusqu’aux îles sous le vent, je vais m’acquitter de cette promesse, non sans avoir effleuré tout de même quelques sujets scandaleux de ces fameuses mœurs politiques bien franchouillardes, le premier de ces sujets est une belle brève à propos de notre précédent ministre de l’éducation nationale qui se voit derechef recasé à l’Université Panthéon-Assas Paris II. Un recrutement qui viendrait d’une demande extérieure envoyée le vendredi 17 juin au président de l’université du centre de Paris, comme on peut en lire quelques infos sur cet article du Huffigtonpost en lien ici [+]. Par ailleurs, après la surchauffe médiatique peuplée d’attaques racistes à l’encontre du nouveau ministre (par intérim ?) qui le remplace on voit bien que le pouvoir libéral n’a pas d’autre envie que de continuer sa casse habituelle ainsi que le rappelle ce blog en lien [+] sur Mediapart.
Comme prévu dans ma chronique de ce lundi je resterai très bref sur cette séquence de brèves politiques. Juste pour faire écho aux attaques nauséeuses contre Pap Ndiaye lors de sa nomination [+] au mois de mai, je ne peux m’empêcher de faire remarquer que lundi dernier, il n’aura pas fallu 24h pour que la « fachosphère » se déchaine et ne déverse un tombereau d’insanités sur la députée Rachel Keke toute fraichement élue. Le pire est que toutes ces informations tronquées, sorties du contexte et lancées par des groupuscule identitaires nauséabonds étaient repris par les thuriféraires de le Macronie forcément mauvaises joueuses autant que mauvais joueurs. Et pire dans le pire ces infos étaient même relayées par des crétins de la gauche de droite membres du PRG en tête.
Et puis, il y a eu cette triste histoire montée de toute pièce par le journal Le Point dont on a l’impression qu’il est devenu un organe de l’extrême-droite sans complexe, à propos d’une soi-disant affaire de femme de ménage sur-exploitée du couple Garrido – Corbières (députés de LFI-NUPES). Tout cela s’est avéré rapidement être des mensonges et des fausses preuves, le journal a été obligé de démentir et de s’excuser. Lâchant en passant son journaliste foireux qui pourtant était très bien intégré dans la politique éditoriale de cette feuille de chou.
De toute façon, depuis des mois et des années, le mot d’ordre reste « haro sur la FI et diabolisons Mélenchon ! », toutes les affaires possible et inimaginables ont été sorties des tiroirs de fange et d’immondices [+]. Mélenchon parti, les élections passées il vont bien nous trouver de nouveaux boucs émissaires, n’en doutons pas.
Enfin pour finir ces brèves de lendemain des législatives, on aura vu les manœuvres débiles du pouvoir appuyé par ses médias dominants pour nous faire croire en une alliance d’union nationale, laissant entendre durant quelques heures à l’éclatement de l’alliance à gauche. Puis ensuite tout aura été fait pour expliquer que ces forces de gauche ne pourront pas s’entendre, hélas pour eux l’alliance tient bon, un intergroupe parlementaire NUPES est donc créé et finalement ce président et sa clique plus bête que ses pieds pourra se tourner vers sa bonne vieille droite conservatrice, voire son extrême-droite pour continuer sa feuille de route sur la casse sociale et la destruction du vivant. Il pourra toujours compter sur ses chiens de garde d’une presse éditoriale faiseuse d’opinion qui continuera encore à déverser impunément le pire du racisme de classe, des contre-vérités, des mensonges et du racisme tout court comme dans cette séquence ordurière en lien [+] toujours à propos de la nouvelle députée de la 7e circonscription du Val de Marne dont je viens de vous parler, émanant d’une pseudo journaliste qui n’en est pas à son premier dérapage [+], toujours autant à vomir.
Allez, c’est bon, j’arrête là pour aujourd’hui à propos de ces pratiques politiques qui s’étalent sous nos yeux éberlués de tant de stupidités pour me recarder sur une narration plus artistiques.
Peut-être ne le savez-vous pas mais loin de son atelier et de ses activités annexes nécessaires à se survie, la vie d’artistes est parsemée de moment de sociabilité. C’est à dire que l’artiste en bon travailleur comme les autres (ou presque !) a une famille et des ami·e·s qu’il en soit contant·e ou non…
Parfois nous traversons des moments de rencontres que ce soit à travers des vernissage, des arpentages, des réunions, des travaux de groupe, ou tout simplement des rencontres informelles autour d’un verre ou encore d’un repas…
Il y a quelques temps Thérèse Pitte [+], ma compagne, et moi-même étions invités chez Jean-Marc Lacabe [+], un bon ami, anciennement directeur et maintenant à la retraite d’un grand centre d’art et de photo français, photographe lui-même, excellent et fin cuisinier au demeurant. Nous n’étions pas seul·e·s, d’autres personnes artistes et enseignants en école supérieure d’art étaient aussi convives. Nous avons évidemment passé la plus grande partie de la soirée à converser à propos d’art et d’artistes, des conversations qui rebondissaient avec allégresse d’un champs à l’autre des paradigmes de la création, des moments gais autant qu’enjoués, des moments durs et polémiques, des rires, des emportements, des dénégations, des affirmations, la vie quoi !
Dans cette discussion plusieurs noms d’autres artistes de nos connaissances sont remontés à la surface de nos échanges. À un moment a été évoqué dans un total désaccord l’œuvre encore jeune de l’artiste Nicolas Daubanes [+]. Un artiste dont j’aime beaucoup le travail. Thérèse et moi n’étions donc absolument pas d’accord sur quelques accusations de vacuité qui était portées par quelques convives à propos de cet artiste. Nous avons argumenté, et peut-être convaincu, qu’en dépassant la frontalité des formes créées par Nicolas, sa pratique qui questionne le monde carcéral et par delà tous les espaces sociaux dits fermés nous paraissait magistrale. Bref et en tout cas si vous avez l’occasion d’approcher le labeur de Nicolas Daubanes n’hésitez pas à l’investir de votre regard. Vous pouvez trouver une de ses œuvres pérennes au Mémorial de la résistance en Vercors [+], pas loin en surplomb de notre cher Pays Diois.
Du coup aussi étrange et bizarre que cela puisse paraître, je ne sais pas pourquoi mais dans une espèce de « schéma holistique » il m’est remonté vers le lobe frontal de mon cerveau, le travail de Berlinde De Bruyckere [+], une artiste belge flamande qui présente une grande rétrospective au MO.CO [+] de Montpellier. C’est étonnant comme ces corps décharnés dans des installations aux positions étranges, noueuses et tortueuses, ou encore dessinés dans des traits fantomatiques et vaporeux, me parlent, cette expo à Montpellier, « Piller|Ekphrasis »[+] rassemble une cinquantaine d’œuvres réalisées entre 1999 et 2022, et six nouvelles œuvres produites spécialement pour l’occasion. Je n’ai vu pour le moment que des photos, ce sera à coup sûr une de mes destination artistique de l’été.
En parlant de Montpellier 2e grande ville d’Occitanie (la région administrative, pas le pays !), où même si tout n’est pas la panacée (je ris moi-même de cette bonne blague !), la situation y est tout de même plus favorable que dans la capitale occitane en ce qui concerne les arts plastiques et visuels. Tenez rien que pour les pichons et les minots la municipalité prévoit un centre d’art pour les enfants, comme on peut le lire ici en lien [+]. Même si ce n’est pas encore validé par un vote, ce centre d’art sera adapté pour que les enfants puissent y voir des œuvres, s’initier à la création et jouer tous seuls, quelle bonne idée !
Sinon, l’art contemporain ne se joue pas qu’en Europe, malgré tout ce qui peut être dit de condescendant il existe bien évidemment aussi en Afrique. Il y a quelques mois que dis-je bientôt année , je vous avais narré combien je ne comprenais pas trop comment on pouvait passer à côté d’artistes majeures autant que majeurs de la création qui se déploie sous nos yeux, au prétexte que celles et ceux ci sont basé·e·s sur notre continent originel, à part évidemment quelques noms qui ont été sélectionnés par la spéculation contemporaine, d’ailleurs plutôt dans le monde anglophone du continent.
À Dakar vient de se terminer la semaine dernière la 14e biennale de l’art africain contemporain [+], qui avait pour titre « Ĩ NDAFFA# », quelque chose qui en langue sérère nous invite à la forge.
Une grande foire de l’art contemporain qui génère un « Off » à côté de son « In » et dont on parle pourtant peu mais qui se hisse à la 3e place mondiale [+] en terme de fréquentation d’après ce que j’ai appris. Rassurez-vous, ce n’est pas que j’apprécie ces grands raout mercantiles, dans quelques parties du Monde qu’ils se trouvent, et d’ailleurs à Dakar aussi il y a du rififi à Pipoland comme avec cette histoire de logo en lien ici [+], non c’est juste pour remarquer que l’art est bien le « soft power » de nos ethnocentrisme occidentaux, et dont nos sociétés post-coloniales ont bien du mal à étouffer les relents d’impérialisme [+].
Je parle aujourd’hui de Dakar, non seulement parce qu’il y a eu cette biennale, mais aussi parce que plus avant dans cette chronique je vous narrais un chouette repas d’artistes animé et contradictoire d’il y a quelques jours. Et bien imaginez-vous qu’il y a moins de 24 heures pas plus tard qu’hier soir dimanche, nous avons participé à un autre repas d’artistes tout aussi chouette et un peu moins contradictoire. Igor Angelov [+] notre hôte d’hier est lui aussi un cuisinier hors pair, tout autant qu’un super artiste qui bien que la peinture soit son médium de prédilection est un créateur qui manie le concept de main de maitre, si j’ose dire. Ce qui ne l’empêche pas d’être extrêmement drôle, voire pince sans rire d’une grande finesse. Un humour et une finesse qui se lit au cœur même de ses toiles les plus rigoureuses. Igor Angelov vient de Macédoine du Nord et est installé en France, à Toulouse depuis plus de 15 ans. N’hésitez pas à l’approcher, tout du moins à travers les contacts de son site ici en lien [+] si vous voulez rencontrer ses œuvres.
Alors à ce point de mon récit vous vous demandez ce que la Macédoine du Nord a à voir avec l’Afrique de l’Ouest, le Sénégal et Dakar… Ce que je ne vous ai pas dit, c’est que parmi les invité·e·s d’Igor autour de sa table hier soir, se trouvait une autre super artiste en la personne de Jeanne Lacombe [+] dont j’adore plus que sincèrement le labeur.
Il s’avère que Jeanne Lacombe bien que d’origine franco-libanaise est née et a vécu à Dakar, elle est réellement africaine. Pour ma part : attaché par des raisons tout autant organiques que familiales dont je vous ai dit quelques mots il y a quelques temps, même si ce n’est pas tout à fait une attache au Sénégal (quoi que !), que cette attache est bien plus au sud vers le Golfe de Guinée, de forts liens se font sentir à mon cœur vers une lagune pas très loin d’Abidjan.
Ainsi depuis que je connais son œuvre, il y a quelque chose que je perçois immanquablement à travers ce prisme de la côte Atlantique près des tropiques dans les couleurs que prennent les toiles ou les céramiques de Jeanne.
Aussi à propos de cette Afrique, pendant ces discussions autour d’une cuisine macédonienne réinterprétée par la maestria d’Igor, dans une ambiance multiculturelle, nous avons évoqué un travail de rendu d’une résidence qu’avait faite du côté de Dakar les artistes Sophie Bacquié [+], Laura Freeth [+], Ndoye Douts [+], Kan-si [+] et Babacar Mbaye Diouf [+]. Une résidence nommée « Sur les pas de Samba Diallo » [+] qui avait été perturbée par la pandémie mondiale et dont le rendu vient d’avoir lieu vendredi 17 juin dernier à La Maison Salvan [+], un très chouette petit centre d’art du côté de Labège en banlieue excentrée de Toulouse.
Alors que ce fut une rencontre avec le public, Jeanne nous disait la difficulté ce soir là qu’elle avait eu à parler de son expérience africaine, qui est l’expérience d’une vie, face à cette expérience d’une résidence. Elle n’en était pas amère, loin de là, mais il est vrai que dans l’écosystème de diffusion de l’art local les rôles sont souvent figés dans la tête de celles et ceux qui en sont les actrices et les acteurs. Un peu d’écoute des unes, des uns et des autres ne ferait pas de mal tout de même.
D’ailleurs je me demande si je ne relancerais pas bientôt ce fameux projet de rencontres entre les plasticiennes et plasticiens de la scène locale à travers leurs ateliers respectifs, tels que nous l’avions imaginé un temps dans une des extensions possibles des Bricodrama [+] il va y avoir déjà bientôt 3 ans. Encore une affaire à suivre. Je ne la mènerai sûrement pas seul et je suis preneur de toutes les bonnes volontés artistiques pour m’accompagner.
Il est tard et je vais vous quitter avant que ce lundi ne s’achève. Avant cela, il reste tout de même un compte à régler avec l’actualité brulante du moment. En effet tout à l’heure, ou quelques lignes de cette chronique plus haut, je vous parlais de « Soft Power ». Ce terme inventé par la diplomatie des USA pour assoir leur suprématie mondiale vient de prendre du plomb dans l’aile, il y a fort à parier qu’ils en aient perdu quelques point dans le monde. La sombre et inique décision (prévisible !) de la Cour Suprême de cet état fédéral qui ne garantit plus la protection du droit à l’avortement [+] aux États-Unis, n’est pas faite pour nous faire rêver à un pays qui serait celui de la liberté. Et dans cette terrible décision d’un autre âge signée par une femme parmi les trois juges de la conservation qui ont fait basculer le vote, l’incroyable spéculation capitaliste de la honte en rajoute une couche avec une pilule du lendemain qui voit son prix grimper en flèche [+].
Tiens, et pour le coup rien que pour la peine, pour faire chier tous les barbus et avant de vous quitter définitivement pour aujourd’hui, je vous laisse quelques liens rapides d’écoutes et de lectures. Tout d’abord avec Clara Zetkin [+] qui fut la femme qui « inventa » le 8 mars [+]. Ensuite avec Flora Tristan [+] une femme de lettres, penseuse et militante socialiste et révolutionnaire féministe [+]. Ensuite avec les dates méconnues de la condition féminine dans l’histoire occidentale en consultant cet article du Journal du CNRS [+]. Et enfin avec une petite histoire de la préhistoire dans laquelle il nous faudra définitivement revoir nos copies sexistes en lien ici [+] sur le magazine Geo.
Je vous souhaite une belle semaine malgré toute ces incroyables stupidités qui régissent notre Monde. Je vous donne rendez-vous lundi prochain, même espace-temps de l’improbable. Je vous laisse avec des petits dessins de table pour notre Imagerie de Combat [+].
Adissiatz amigas e amics.


La suite la semaine prochaine pour une nouvelle « Chronique du lundi »…
PhP
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Merci pour cette riche chronique. Je n’aurais pas assez de la semaine pour la lire…