22.08.2022 – Chronique du lundi
22 août 2022 § 2 Commentaires
Trop de fer, ça énerve parfois…
Chères et chers ami·e·s qui arrivez sur ces mots, que ce soit par une plus que probable approche visuelle propre à la lecture, ou par une bien hypothétique approche auditive, sachez qu’il n’est pas loin de 6h50 ce 22 août 2022 à l’instant où je rédige les premiers de ces dits mots. Des mots qui entament cette quatrième chronique d’août de la présente année et à travers lesquels je vais m’empresser de vous souhaiter une aussi amicale que chaleureuse bienvenue pour un nouvel exercice éditorial à propos du temps qui passe sous mes yeux.
J’écris ces lignes de retour à Toulouse. Ce weekend nous sommes rentrés Thérèse Pitte [+], ma compagne, et moi dans la Ville dite rose accompagné·e·s de notre nouvelle petite minette adoptée dans la Drôme. Une adoption faite pour le plus grand bonheur des enfants de Thérèse, j’avoue que cette petite boule de poils est bien adorable et que nous l’avons adoptée nous aussi avec un plaisir joyeux.
De retour donc dans cette Ville rose bien asséchée [+], avant d’essayer repartir enfin d’ici la fin de l’été quelques petites journées dans le Tarn de mon enfance, où j’ai vu avec fierté récemment dans la presse que du côté de Briatexte la boucherie sera reprise par un jeune Malien [+]. Comme quoi à force de fustiger l’impossible résilience sociale des fameuses zones de la France dite périphérique on se met les doigts bien profonds dans les orbites oculaires et on laisse le champs libre à des énergumènes qui sont totalement minoritaires au sein de ces dites zones mais qui terrorisent à travers leurs grandes gueules avinées. Je suis heureux de voir refleurir notre culture du paratge occitan [+] au cœur de nos territoires.
Cela dit, malheureusement quelques déboires de mécanique véhiculaire nous mettent quelques bâtons dans les roues que nous n’avons plus pour un temps. Je ne pourrai pas pour quelques jours rejoindre les lares et les pénates [+] familiales, pour le coup je pourrais peut-être aller me réfugier au fond de mon espace de travail à l’Atelier TA [+] afin de continuer mes labeurs dessinés autour de l’eau… Car évidemment les transports en commun étant si bien organisés dans notre pays quand il s’agit d’un déplacement familial en nombre, rien n’est aisé et tout devient compliqué, vivement le retour des lignes ferroviaires qui soient vraiment utiles et efficientes face aux besoins de déplacements réels [+] de la population.
Côté optimiste de la chose, à toujours parler de mes déboires privés, cette panne nous a permis d’être à Toulouse hier et surtout de pouvoir gaiement pique-niquer dans ce jardin Raimon VI, un jardin toulousain de la rive gauche attenant au musée des Abattoirs [+] et qui bute sur un terre-plein en hauteur dominant la Garonne. Un brunch participatif, sur l’herbe, organisé en quelques minutes, partagé par une petite poignée d’amies et d’amis, qui nous a donné la chouette occasion de fêter joyeusement l’anniversaire de Thérèse ainsi que ceux de deux autres « lionnes » en les personnes de Sophie Marty Edward [+] et de Nataly Nato [+], deux artistes dont je vous ai mainte fois narré l’admiration que je porte à leurs labeurs respectifs. Hier Nataly nous à présenté un carnet de voyage d’été dessiné et absolument génial, il me tarde de le voir complètement fini.
Je pourrais parler plus qu’à mon saoul de ces géniales artistes avec qui j’adore discuter des choses de la vie autant que de celles des paradigmes de l’art. Je vous entretiendrai plus tard de leurs formidables boulots ainsi que ceux d’autres artistes comme Pascale Herpe [+] et Cerette Meyer [+] qui étaient avec nous hier, c’est promis. Car du point de vue artistique, j’avoue faire un lien mental entre elles. Même si elles ont des approches formelles très distinctes les unes des autres, que ce soit par exemple dans le domaine de l’image photographiée et retravaillée au tirage comme le pratique Thérèse ou du dessin et des volumes conceptualisé dans un environnement textuel comme le pratique Pascale pour autre exemple, il existe entre-elles une énergie et une écriture commune, bien au-delà du geste de fabrication dans leurs labeurs respectifs, un quelque chose qu’il faudra bien un jour que je théorise.
Mais bon c’est l’été après tout et voici donc encore une chronique paresseuse voire indolente qui s’annonce au cœur d’une saison estivale qui entame son dernier tiers. Un été qui restera celui de l’apocalypse incendiaire jusqu’au prochain, l’an qui vient. Un été de l’enfer caniculaire commencé cette année bien plus tôt que sa date officielle.
D’ailleurs cette chronique sera courte et sûrement publiée dans l’après-midi de ce lundi, bien avant mon habitude tardive, afin d’annoncer à temps le Salon Reçoit [+] de ce 22 août qui accueille ce mois-ci, l’intervalle d’une soirée de 18h à 22h, le travail de cet autre super excellent artiste et ami qu’est David Brunner [+] sur une relecture de plus de vingt ans de visuels du Salon Reçoit en perspective de l’exposition [+] en cours au Musée Denys Puech [+] de Rodez, dont je me suis fait abondamment écho en mai dernier. Le travail présenté ce soir sera mis en espace et musique par Désirée Louve [+], le double cosmique et binôme incontournable de David. Si vous êtes à Toulouse précipitez vous rue Henri Desbals (quartier des Arènes) ce soir, c’est ouvert à toutes et tous, comme tous les 22 du mois en cours depuis le 22 décembre 1993 [+].
Aujourd’hui, après une relative douce semaine au pied de nos montagnes de la Drôme, puis notre arrivée sur les bords de Garonne, le spectre de la reprise des chaleurs infernales plane lourdement au-dessus de nos têtes, les ventilateurs restent accrochés à leurs starting-blocks. À moins que ce ne soit à présent la menace des orages dévastateurs, des inondations mortelles, et des tornades intempestives qui devienne les nouveaux bourreaux de nos chétives personnes humaines en cette fin de saison estivale. La semaine dernière ne fut pas en reste de ces épisodes impressionnants où la nature se déchaîne, sur nos rivages occitans de la Méditerranée, dans la capitale de la France, et bien ailleurs comme en Italie, semant même mort et chaos sur l’Île de beauté [+].
Il a bien fallu que notre ineffable ministre de l’intérieur lance l’anathème [+] sur les services de Météo France, alors que ces sinistres individu·e·s n’ont eu de cesse que de démanteler ces services de l’état depuis des années [+], dans un mouvement qui s’accélère sous l’impulsion dogmatique d’un président hors-sol. Et puis, nous n’en sommes pas à un contrefeu près.
Cette dernière réflexion sur l’incroyable stupidité qui résume l’action de la gouvernance macronienne, me fait penser qu’à présent, maintenant que l’épidémie qui a provoqué un blocage mondial il y a si peu est remisée aux épiphénomènes médiatiques, nous pouvons prendre le recul nécessaire pour voir à quel point nos dirigeants hexagonaux ont été en dessous de tout, toutes et tous obnubilé·e·s par des critères de rentabilité mortifère. Notre recherche a été massacrée, la (maintenant) 7e puissance mondiale n’a pas été capable de créer et fabriquer un vaccin contre le Covid, Cuba si [+], c’est tout de même assez symptomatique de l’inefficacité de cette gouvernance qui nous dirige au seul profit des plus nanti·e·s. La seule réponse à la pandémie fut de culpabiliser à outrance la population, il ne faut pas oublier ce qui était en œuvre il y a à peine moins de deux ans, voici un petit rappel de la situation ici en lien [+], avec un article de « Révolution Permanente » de novembre 2020.
On oublie vite, nos « sociétés poissons rouges » sont bien organisées dans ces perspectives. Il y a fort à parier que l’on oubliera aussi vite les sécheresses de l’été présent, jusqu’au prochain où l’on pourra à nouveau s’affoler jusqu’à ce que mort s’en suive. Je vois sans être devin qu’en ce qui concerne le retour de la pluie et des tempêtes qui l’ont accompagnée, il y aura toutes et tous les ravi·e·s de la crèche qui pourront se rasséréner en se disant que tout cela aura mis fin aux mégafeux [+] dévastateurs de nos forêts, nos garrigues jusqu’à nos champs les plus communs. Et surtout ils ou elles nous affirmeront péremptoires que la nature fait bien les choses, qu’il ne faut surtout rien changer à notre société de consommation [+] et que nous pouvons toujours commander nos objets, bien trop souvent inutiles, sur Amazon, se vêtir de vêtements pourris chez Primark, où se nourrir de nourritures non moins pourries chez Subway, Mc Do ou autre Domino Pizza.
D’ailleurs, en parlant de cette dernière marque, petit aparté pour dire que l’on ne pourra que se réjouir de la voir boutée hors de la botte italienne [+], ce qui est d’autant plus réjouissant quand on sait que cette marque finance sans complexe les lobbies anti-avortements [+] dans le monde depuis des décennies.
Tous les espoirs restent permis quand on le veux bien, mais il faut se battre, ce n’est pas facile et cela dure depuis longtemps [+].
Alors oui beaucoup de feux sont éteints grâce à cette pluie qui nous tombe du ciel. Sauf que je pense à nos amies et amis en Algérie qui n’ont pas cette chance et qui ont vu des dizaines de personnes englouties dans les vortex [+] de ces mégafeux au comportement imprévisible. L’eau et la pluie leur manquent encore plus que de ce côté de notre mer Méditerranée. Une eau de pluie qui a terrassé ce feux dévorant devant mes yeux impuissants, les semaines précédentes, cette montage Dioise que j’aime tant au dessus de Romeyer [+]. Une eau de pluie que l’on apprend être définitivement impropre à la consommation où que l’on se trouve sur la planète, même en antarctique [+], je ne sais pas vous mais tout cela me fout plus les boules que les jetons.
La semaine dernière je vous disais que le gouvernement actuel de notre pauvre République était totalement inadapté aux enjeux de notre monde. Alors en effet, pour enfoncer le clou, je dirai avec force provocation que c’est quand même bien mieux et plus utile de recruter plusieurs dizaines de milliers de policiers réservistes, plutôt que des pompiers volontaires effectivement, à lire en suivant cet autre lien [+] vers le média indépendant « Révolution permanente ».
Au delà de cette quasi anecdote de choix budgétaire pour la protection de la population dont il est sensé avoir la charge, quand j’affirme que notre gouvernement est inadapté, président en tête de plus en plus mégalo – voir son dernier discours [+] -, je ne le dis pas d’un point de vue partisan, il suffit de mettre les yeux en face des faits pour l’affirmer. En effet rien qu’en exemple : je suis sûr que vous ne saviez pas que l’énergie solaire allemande produit plus d’électricité que l’énergie nucléaire française, ainsi que vous pouvez le lire en lien ici [+], sur « Reporterre ». Tout de même, vous conviendrez que ça a de quoi interpeler à propos des choix dans lesquels nous nous enfermons.
Je ne dis pas qu’il existe des solutions miracles et que l’ailleurs est forcément meilleur. D’autant que si nous entamions un débat sur l’énergie toute production de celle-ci a son côté sombre. Et qu’en fait c’est plutôt du côté de la sobriété loin de la croissance capitaliste que nous trouverons le salut. Les énergies renouvelables ne sont pas en reste et ne doivent pas se tenir loin de cette réalité. Je l’ai dit mille fois dans mes chroniques, ne confondons pas progrès, innovation et développement, trois concepts pas toujours en phase.
D’ailleurs, samedi sur la route entre Drôme et Garonne, j’écoutais une excellente émission sur France Culture, ici en lien [+], à propos de l’économie vue à travers la pensée de Pasolini. Je ne peux qu’abonder dans le sens de ce génial cinéaste quand il s’agit de faire cette séparation entre progrès et développement, j’y rajouterai donc l’innovation, mot tarte à la crème qui a tendance à me faire hérisser les poils jusqu’à me rendre très énervé.
Et puis d’ailleurs quand nous donnons le mauvais sens au progrès, et surtout au développement, la stupidité n’est pas loin. L’arnaque Elon Musk est là pour nous le pointer du doigt, et Toulouse est bien à la pointe de la stupidité [+].
Heureusement certains élus comme Marc Péré le maire de l’Union [+], une ville de la banlieue Est de la métropole toulousaine restent intègres et combattifs [+] à se battre contre une équipe d’édiles municipaux de la Cité Mondine en totale roue libre et champions des masterclass de cette ignoble stupidité [+].
En parlant d’innovation, cela me remémore l’histoire édifiante du premier cas de harcèlement numérique [+]. Voilà des décennies que nous aurions dû en prendre de la graine. Hélas nos visières sont difficiles à enlever. Depuis l’arrivée des TIC (Technologies de l’Information et de la Communication) sur le marché des désirs de consommation capitaliste, il y a déjà plus de quatre décennies, aucun recul n’est pris et tous les choix les pires pour l’humanité sont mis en action sous prétexte de l’innovation triomphante, le transhumanisme semble être l’avatar ultime [+] de cette folie, ainsi que nous alertait le regretté Bernard Stiegler [+].
Nous sommes loin de voir le web à l’aune d’une aventure numérique éthique. Il existe fort heureusement dans ce domaine des résistances avec ces structures comme Framasoft [+], ou plus proche de moi : Combustible Numérique [+]. Une éthique presque totalement disparue dans ce web devenu un territoire de jeux pour tous les faussaires de l’histoire remplacée par les fameuse « Storytellings » et où les limites de la participation néophyte aux connaissances du monde ont explosé comme on peut le lire en suivant ce lien [+], c’est édifiant.
Sans parler des plateformes comme Facebook ou Instagram, médias sociaux devenus incontournables et dont j’avoue me servir abondamment pour promouvoir mon activité. Des médias dit sociaux qui sont devenus le support des réseaux de la réaction en marche comme on peut le lire en suivant cet autre lien [+] vers le « Guardian ».
Là aussi avant de m’enflammer, je vais arrêter de vous parler de ce babil mondial qu’est le web, auquel j’avoue ma participation active, au moins à travers ces présentes chroniques. Je préfère rester serein dans la tranquille relative douceur de ce petit matin d’été apaisé et doux.
D’autant que ma nuit fut bien étrangement calme, malgré ce nouveau petit membre de notre cellule familiale qu’est une adorable minette d’à peine deux mois et demie et toute tigrée extrêmement joueuse… surtout avec les orteils de pieds !
Les semaines et même les mois qui viennent de passer, pour diverses raisons sûrement dues à quelques soucis de santé un peu pénibles, de multiples moments où je n’arrivais pas à prendre le train d’un sommeil réparateur ont parsemé mes nuits. Et en reprenant quelques notes en préparant cette présente chronique, je me suis souvenu d’une discussion en mai dernier à Denys Puech avec l’artiste Jeanne Susplugas [+] au sujet de notre pratique du sommeil polyphasique [+], ce mode de repos dans lequel le sommeil est reparti en plusieurs phases au cours d’une journée [+]. Je ne sais pas pourquoi je parle de cela, je crois en avoir déjà parlé lors d’une précédente chronique, il faudrait vérifier.
Mais voyez-vous je travaille ces textes à partir de notes éparses de droite et de gauche qui regroupent réflexions et liens divers sur un sujet. La note à propos du sommeil polyphasique était là depuis longtemps, il fallait bien que je la liquide. Mes jeux de doigts avec Louison, c’est le nom de la petite minette dont je viens de vous parler plus avant, ont été le déclencheur de cette liquidation. Comme quoi les moteurs de l’écriture sont multiples.
Dans tous les cas mes moteurs sont effectivement multiples et se nourrissent vous l’aurez remarqué depuis longtemps de l’observation du temps qui passe sous mes yeux d’artiste. C’est d’ailleurs le sujet principal de mes chroniques depuis près de deux ans. Pour le coup je ne pouvais pas passer à côté de cette plus que violente agression à caractère religieux contre l’écrivain Salman Rushdie [+], dont on ne sait plus s’il est indien, britannique ou américain à présent et c’est tant mieux tellement la classification nationale est la plaie de ce monde. Mais là n’est pas le problème, l’agression d’un fanatique religieux [+] contre un écrivain, un auteur, un artiste, n’est jamais anodine. À y regarder de près ce type d’agressions est toujours suivie de son lot d’instrumentalisations nauséeuses.
Les coups de couteaux [+] portés sur l’écrivain par un débile [+] pétri de bondieuseries ont lancé une chaîne de réactions typique. Comme à l’habitude, nous avons vu une cohorte d’injonctions stupides stigmatisant une population entière, n’ayant rien à voir avec le sujet, qui devrait se justifier d’exister alors qu’elle ne sait même pas le pourquoi du comment elle existe ainsi dans les yeux des autres. Il eut fallu que tous les musulmans du monde – sous entendu en France : tous les arabes – se désolidarisent du geste meurtrier d’un total « neuneu » [+] extrême autant que dangereux. Un crétin qui n’a rien à voir avec mes centaines et bien plus de potes femmes comme hommes que j’ai côtoyé·e·s ou que je côtoie en France comme ailleurs qui sont de cette confession parce qu’elles ou ils sont né·e·s ainsi, ce dont tout le monde devrait se ficher totalement tant cela reste du domaine de l’intime.
Et même quand des grands comme des petits noms, médiatiques comme inconnus, s’exécutent [+] face à ces injonctions stigmatisantes, pratiquement à chacune de ces affaires nos champions de la « laïcité telle que je l’entend » en veulent toujours plus, un fameux philosophe de comptoir [+] en tête.
Vous comprendrez que tout ceci puisse me rendre furieux.
A-t’on demandé aux chrétiens du monde de se désolidariser du geste d’un imbécile qui a buté des dizaines de personnes au nom d’une quelconque croisade, comme on en voit par dizaine tous les ans aux USA [+] ?
Ou même a-t’on demandé à tous les blancs du monde, ou tout du moins d’Europe, de se désolidariser du suprémaciste d’extrême-droite qui a buté [+] des dizaines de jeunes militants de gauche sur une île de la mer Baltique, avec toutes ces fumeuses valeurs chrétiennes sous-jacentes ?
Est-il lancé une injonction perpétuelle aux citoyennes et citoyens français de confession juive de se désolidariser des actions du gouvernement israélien qui détruit arbitrairement toute vie paisible en Palestine depuis des décennies [+] ?
D’ailleurs j’aimerai bien que le pape actuel fasse un vrai mea-culpa de l’église Chrétienne Catholique Apostolique et Romaine des horreurs perpétrées par l’inquisition qui décima mes ancêtres [+] il y a près de 800 ans !
Vous aurez compris après ces mots un peu provocants que tous ces « deux poids, deux mesures » me foutent assez en rogne et je ne suis pas près de me calmer de ce point de vue.
Bon j’arrête là, avant de m’énerver totalement. Sûrement à cause d’un taux de fer trop important dans mon sang. Heureusement que je vous avais annoncé une chronique en mode dilettante.
Une fois encore je n’aurais que peu parlé d’art, je me rattraperai plus tard. De plus je n’aurais que peu parlé tout court dans cette Chronique du lundi 22 août 2022, si ce n’est que pour râler face à la stupidité ambiante, pour le coup je ne me rattraperai pas plus tard !
Si, je vais tout de même parler encore un peu d’art, juste pour informer toutes les amies marseillaises autant que tous les amis marseillais, et même le monde entier qui pourrait s’y transporter, de pas ne rater samedi prochain 27 août 2022, la journée F.J Ossang [+] à La Baleine [+] en présence du génial maestro [+]…
Je vous abandonne pour aujourd’hui et une fois n’est pas coutume je pose les derniers mots de ce présent exercice éditorial bien avant la fin de la journée. Je vous laisse comme depuis plusieurs semaines avec un des dessins de mon travail en cours « Aiga – La cartographie sensible de l’eau« . Je vous souhaite une belle semaine et vous donne rendez-vous lundi prochain pour de nouvelles élucubrations. Adissiatz…

La suite la semaine prochaine pour une nouvelle « Chronique du lundi »…
PhP
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Et bé, retour terrible à la réalité avec ton article. Tu me donne le bourdon. J’avais pourtant veillé à m’écarter de pratiquement tous les médias durant mes congés, à part facebook et insta, pour faire mon malin. Comme tu le dis, malheureusement on ne peut s’en passer pour faire « un peu de bruit ».
Gratouille à la chatoune nouvelle venue.
Marc
Oui, « pas glop ! » l’actualité, mais restons optimistes sans être ravis de la crèche comme je le dis dans cette chronique du lundi…
J’espère que tu vas bien. Je ne manque pas de faire des papouilles à la petite chatoune qui vient de faire son entrée dans notre foyer !
À vite